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Critique de gill
C'est bien d'une invasion extra-terrestre dont il s'agit là, mais pas d'une invasion bruyante, sorte de brouillon réalisé à coups de laser, de virus lancés au hasard des vents ou de missiles agressifs.
"Les cuirs bouillis" sont des êtres discrets qui fréquentent plutôt, loin de tout regard, les égouts et les souterrains.
Ils se révèlent d'ailleurs, assez étonnamment, absent du récit.
Nous sommes en 1985.
Sous la pression de l'antagonisme sourd qui oppose le bloc de l'Est à une Amérique, unie de l'Alaska à la terre de feu, l'Europe, afin de rester neutre, s'est désarmée.
Tournée vers des préoccupations plus pacifiques, c'est tout naturellement qu'elle a installé le premier observatoire lunaire.
Mais ça ne tourne plus rond sur cette sacrée Terre !
C'est ce jeune astrophysicien de 28 ans, Pierre Louvier, qui, le premier, a observé le phénomène.
Le globe terrestre bascule soudainement sur son axe et sa rotation se ralentit doucement.
Si la vitesse de basculement se maintient, il faudra deux mois pour qu'elle atteigne un degré.
A partir de deux degrés, des perturbations météorologiques violentes se produiront.
Dans le cas d'un basculement de seulement 30 degrés, toutes mesures pour le salut de la terre seraient bien illusoires !
De l'observatoire lunaire, par hasard, une zone chaude anormale est détectée aux confins de la Galaxie.
Or, il s'avère que ce phénomène est, en réalité, lié à un objet céleste, probablement recouvert d'un revêtement anti-radar, qui se dirige vers la Terre.
Dans les mêmes temps, deux animaux, insectes ou robots, sortes de coccinelles de 90 centimètres de long, ont été dénichés dans une succursale de l'immense machine à calculer d'Estampes....
Ce récit est bon roman de science-fiction.
L'agresseur est "gros lard", une "naine" surdimensionnée à la densité effroyable.
Mais qui se cache derrière ce nouveau satellite mortel ?
Bien écrit, solidement charpenté dans un cadre "astronomique" crédible pour le profane, ce livre est raconté comme une anecdote historique.
Il est plaisant, assez prenant et original.
"Les cuirs bouillis" sont des êtres discrets qui fréquentent plutôt, loin de tout regard, les égouts et les souterrains.
Ils se révèlent d'ailleurs, assez étonnamment, absent du récit.
Nous sommes en 1985.
Sous la pression de l'antagonisme sourd qui oppose le bloc de l'Est à une Amérique, unie de l'Alaska à la terre de feu, l'Europe, afin de rester neutre, s'est désarmée.
Tournée vers des préoccupations plus pacifiques, c'est tout naturellement qu'elle a installé le premier observatoire lunaire.
Mais ça ne tourne plus rond sur cette sacrée Terre !
C'est ce jeune astrophysicien de 28 ans, Pierre Louvier, qui, le premier, a observé le phénomène.
Le globe terrestre bascule soudainement sur son axe et sa rotation se ralentit doucement.
Si la vitesse de basculement se maintient, il faudra deux mois pour qu'elle atteigne un degré.
A partir de deux degrés, des perturbations météorologiques violentes se produiront.
Dans le cas d'un basculement de seulement 30 degrés, toutes mesures pour le salut de la terre seraient bien illusoires !
De l'observatoire lunaire, par hasard, une zone chaude anormale est détectée aux confins de la Galaxie.
Or, il s'avère que ce phénomène est, en réalité, lié à un objet céleste, probablement recouvert d'un revêtement anti-radar, qui se dirige vers la Terre.
Dans les mêmes temps, deux animaux, insectes ou robots, sortes de coccinelles de 90 centimètres de long, ont été dénichés dans une succursale de l'immense machine à calculer d'Estampes....
Ce récit est bon roman de science-fiction.
L'agresseur est "gros lard", une "naine" surdimensionnée à la densité effroyable.
Mais qui se cache derrière ce nouveau satellite mortel ?
Bien écrit, solidement charpenté dans un cadre "astronomique" crédible pour le profane, ce livre est raconté comme une anecdote historique.
Il est plaisant, assez prenant et original.
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