Sur les 8 premiers
San Antonio, il s'agit de celui que j'ai le moins aimé. on a le sentiment qu'il a été écrit trop vite. 1953 a été une grosse année de production pour
Frédéric DARD. Même si notre commissaire se promène un peu à ORLEANS, puis STRASBOURG (avec une incursion à la frontière allemande) et surtout, descend à CANNES où il retrouve le commissaire PELEGRINI (1er
San ANTONIO), je n'y ai pas trouvé l'étincelle que l'on aime chez lui. Surtout je n'ai pas compris pourquoi il défenestre Rachel à PARIS, ça ne lui ressemble pas. Sinon, nous y retrouvons des bons mots, des excursions en Opel, Matford (celle de Bérurier qui apparait à la fin de l'épisode) et une Lancia dont il vante la vélocité. le roman comporte toujours les rancunes d'après guerre auprès des allemands et une première approche des services secrets russes.
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