Voici
San Antonio en Irlande accompagné de Bérurier pour trouver un ancien mafieux.
Du côté positif, je dirais de ce
San Antonio qu'il est assez imaginatif notamment dans les différents décès des personnages. Sympa également les titres des chapitres qui reprennent les derniers mots du chapitre précédent. Il y a indéniablement de l'originalité ou plutôt des invraisemblances inventives lors de cette enquête dont le dénouement nous laisse pantois. et pends-toi, je retire la sellette.
Mention excellente pour l'histoire de l'artisan irlandais qui ne travaille pas les jours où il fête un anniversaire relativement à sa femme défunte. Vu qu'il fête près de 300 célébrations (premier rendez-vous, premier baiser, première fois,...), il ne travaille que ce qu'il faut, c'est-à-dire qu'il ne travaille pas.
Pour le reste, beaucoup trop de morts, on dirait du
Tarantino avant l'heure. le scenario est abracadabrant car il est tant question de bras que de dents.
Pas mal de clichés éculés et de clichés de culs ...
Certains formulations sur les femmes, les homosexuels et les afro-américains deviennent problématiques à lire avec nos yeux d'aujourd'hui. Il faut vivre avec son temps et lire avec son temps (je vous laisse le soin de choisir à qui appartient ce pronom possessif).
pas le meilleur, pas le pire
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