Je l'ai lu quasiment d'une traite, même si notre commissaire encaisse bien les coups, dans ce deuxième tome il frôle la mort au moins trois fois. L'action pleut, et
San Antonio se bagarre plusieurs fois avec un nain coriace, il utilise d'ailleurs des synonymes qui ne passeraient surement pas aujourd'hui mais je peux vous dire comme disait Félicie qu'on s'en paye une tranche. Car au moins ce petit bouquin m'a bien fait rire et, plusieurs fois. Outre l'argot maitrisé, on apprend la position choisie par notre héros jusqu'en 1942 et les raisons qui l'ont poussé à quitter notre beau pays.
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