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Critique de lecassin


La France envisage d'acheter une île de l'archipel des Malotrus pour y conduire des essais nucléaires. Les tractations se déroulent en coulisse, alors que le Ministre des Affaires Etrangères, Tabobo Hobibi, de la reine Kelbobaba, arrive à Genève.
Pour quoi faire ?
Bon, il est poignardé à l'aéroport et malgré l'hospitalisation de Béru et San-A. en faux malades pour interroger le mourant, une seule information sera récupérée : le ministre est descendu (si, si… dans tous les sens du mot) sous un faux nom, à l'hôtel Intermondial où il a rencard avec Sir Dezanges, un représentant de sa Majesté la reine d'Angleterre…

L'archipel des Malotrus, 1967. Même s'il m'est parfois (souvent) arrivé ici de prétendre que la grande période pour la série San-Antonio est la fin des années 60, il m'est parfois (rarement) arrivé aussi de me gourer. Preuve, ce soixante-cinquième volume qui, soyons honnêtes, ne casse pas trois pattes à un canard…
Tout d'abord, un procédé narratif nouveau, qui, heureusement ne sera reconduit : une première partie, résumée page 121, « classique », suivie d'une deuxième (étonnant, non ?) partie, plus « délirante », résumée page 249. Les deux résumés pour les non amateurs de « classique » ou de « délirant », afin qu'ils ne perdent pas leur temps à ligoter une partie qui ne les branche pas … Bof ! Quant à la deuxième partir « délirante », pas si que ça …
Une intrigue très creuse que même les calembours, en grand nombre, ne parviennent pas à étoffer. Trop de calembour affaibli le calembour…
Pas de Pinaud… Des notes en bas de pages nombreuses, trop, comme pour meubler…

Bon ! Vivement le prochain : « Zéro pour la question », dont je n'ai aucun souvenir…
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