Le Boss l'avait prévenu, San-A. : « Puisque vous aimez jouer aux durs… » et lui, vous le connaissez, quand on lui dit ça…
On verra donc San-A débarquer dans le troquet de Fifi-les-belles-noix avec l'unique intention de provoquer Paul-le-pourri, déclencher une bagarre et se faire embarquer avec lui dans le seul but de l'aider à s'évader et entrer dans son équipe de malfrats afin de remonter une filière de kidnappeurs de sommités scientifiques dans le domaine du nucléaire… Ouf !
« Messieurs les homme », quinzième volume de la série, un
San-Antonio de belle facture : une intrigue élégante et bien ficelée qui se termine par une surprise bien amenée dans les dernières pages.
Pas de Bérurier. Tout juste le voit-on écouter à la porte du Vieux quand
San-Antonio est au rapport.
Quelques calembours, utilisation accrue de l'argot … mais pas de digressions surréalistes, peu d'ajouts dans le Kama-Sutra personnel du commissaire… Non, simplement une intrigue bien menée ; du classique…
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