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Moi qui adore la littérature canadienne, j'ai eu la chance de recevoir, dans le cadre de Masse critique Babelio, ce premier tome de la saga À l'ombre du clocher de Michel David.
J'ai beaucoup aimé faire la connaissance des habitants de Saint-Jacques-de-la-rive au Québec. Dans ce petit village enneigé au bord de la rivière, j'ai vu se nouer des amitiés, vu la haine réciproque absurde flamber entre Ernest et Eugène, vu croître l'amour naissant entre Céline et Clément, et vu la rencontre entre Germain et Gabrielle l'orpheline.
Ce roman qui se déroule en 1922 aborde différents thèmes: celui de l'mmigration à travers l'arrivée d'un couple italien dans le village, la présence considérable du curé et la mainmise de l'église sur les paroissiens, la vie des paysans cultivant leur terre alors que les conditions climatiques sont si difficiles.
Je retrouverai avec plaisir les trois tomes suivants de cette saga car c'est toute la vie des familles québécoises au siècle dernier que nous décrit Michel David en utilisant les expressions de la Belle Province.
Critique de Shel
Moi qui adore la littérature canadienne, j'ai eu la chance de recevoir, dans le cadre de Masse critique Babelio, ce premier tome de la saga À l'ombre du clocher de Michel David.
J'ai beaucoup aimé faire la connaissance des habitants de Saint-Jacques-de-la-rive au Québec. Dans ce petit village enneigé au bord de la rivière, j'ai vu se nouer des amitiés, vu la haine réciproque absurde flamber entre Ernest et Eugène, vu croître l'amour naissant entre Céline et Clément, et vu la rencontre entre Germain et Gabrielle l'orpheline.
Ce roman qui se déroule en 1922 aborde différents thèmes: celui de l'mmigration à travers l'arrivée d'un couple italien dans le village, la présence considérable du curé et la mainmise de l'église sur les paroissiens, la vie des paysans cultivant leur terre alors que les conditions climatiques sont si difficiles.
Je retrouverai avec plaisir les trois tomes suivants de cette saga car c'est toute la vie des familles québécoises au siècle dernier que nous décrit Michel David en utilisant les expressions de la Belle Province.
