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Critique de BazaR
Je viens de finir le troisième tome de Servitude et je suis encore sous le charme alors même que je tape ces mots.
Inutile de résumer les évènements; d'autres critiques éminents de Babélio s'en sont déjà chargés avec brio.
Je ne veux que faire part de mon enthousiasme envers une série plus puissante que bien des romans de fantasy, et qui se révèle dans ce tome être en fait un hymne profond à l'Humanisme dans le sens littéral du terme: la grandeur de l'Homme qui surpasse même celle des Dieux.
Si je devais malgré tout regretter quelque chose ce serait le dévoilement dès le début du tome des véritables ficelles et marionnettistes de l'histoire. Nous avons vécu les deux tomes précédents avec un personnage mystérieux manipulant les forces humaines en présence. A présent le mystère n'est plus. Les auteurs n'auraient-ils pas pu lever le voile progressivement, au sein de l'histoire au lieu de choisir un avant-propos? Ils se privent pour la suite d'effets de révélation efficaces.
Inutile de résumer les évènements; d'autres critiques éminents de Babélio s'en sont déjà chargés avec brio.
Je ne veux que faire part de mon enthousiasme envers une série plus puissante que bien des romans de fantasy, et qui se révèle dans ce tome être en fait un hymne profond à l'Humanisme dans le sens littéral du terme: la grandeur de l'Homme qui surpasse même celle des Dieux.
Si je devais malgré tout regretter quelque chose ce serait le dévoilement dès le début du tome des véritables ficelles et marionnettistes de l'histoire. Nous avons vécu les deux tomes précédents avec un personnage mystérieux manipulant les forces humaines en présence. A présent le mystère n'est plus. Les auteurs n'auraient-ils pas pu lever le voile progressivement, au sein de l'histoire au lieu de choisir un avant-propos? Ils se privent pour la suite d'effets de révélation efficaces.
