AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de BRUMANT


Si je l'ai vu à la télévision plusieurs fois, je n'ai rien lu de lui. Ce livre a été traduit par Daniele Valin. L'espace d'un tiers de seconde et je suis avec lui. Je ne peux rien dire du mien. Je parle sinon à une assiette qui joue avec les mots. Il s'appelait Pinocchio. Fils d'un menuisier, il l'avait fait en bois. Dans les vieux livres, les chevaux pleuraient leurs cavaliers. La clepsydre vient du verbe voler. Je me dénonce , c'est moi qui l'ai volé. Mes yeux sont secs. Je suis d'une époque révolue et je pleure pour rien. Je parle tout seul. Les femmes que j'ai tenu dans mes bras,n'ont pas voulu de moi ni de me faire un enfant. Mais j'ai eu les mots. unun peintre faisait voler un violoniste comme Chagall. Je respecte ceux qui ont des livres bien ranges .
O mon amour mon beau mon merveilleux amour de l'aube clair. Tu me regardes avec résignation. Celui qui domine ses propres désirs est le maitre de lui- meme. je ne connaissais pas de variante. Un bréviaire de la beauté, je m'extasie. je n'aurais pa pu t'elever,, je ne pouvais à peine m'occuper de moi. J'ai été de temps en temps superstitieux. Ce n'est qu'un début continuons le combat. le vent est ce qu'hier nous entendions grincer des dents. le rythme binaire des vague me seduit. le grondement de l huis également.
Commenter  J’apprécie          670



Ont apprécié cette critique (64)voir plus




{* *}