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Critique de Depreading
Si vous voulez passer un court et bon moment de lecture, "Le caissier, les mouettes et les poissons rouges" est le polar qu'il vous faut.
Léger et sans prise de tête, ce polar nous amuse et nous captive par ses jurons autour des mouettes et son humour particulier.
Pour vous la faire courte, Antoine, un simple caissier Carrefour se fait braquer sa caisse et perd, par conséquent, tout l'argent qui s'y trouvait. C'est sans compter la colère de son employeur aka Petit-Chef qu'Antoine va prendre ses cliques et ses claques. Ras-le-bol de ce chef qui se pisse dessus ! Antoine ne va pas se laisser faire et va tout tenter afin de mettre le grappin sur le pognon volé.
C'est alors qu'au cours de sa mission de récupération, Antoine va rencontrer un groupe d'individus pas très fute-fute. La mission braquage grimpe d'un niveau... ou pas. Notre cher caissier n'a qu'un mot en tête : la vengeance.
Une vengeance qui a plus d'un tour dans son sac et qui va s'avérer mutuelle. Elle va tourner autour du pot tel un match de tennis où chacun se renvoie la balle en permanence. C'est peut-être un jeu amusant pour nous à lire mais ça l'est encore moins pour nos compères, d'autant plus que le chef incontinent ne va pas les laisser s'en tirer, Antoine avec.
Il n'est peut-être pas très commode et est maladroit mais lui aussi va profiter de la situation. Comment ? La troupe d'Antoine va-t-elle réussir à se défaire de ce parasite ?
Mine de rien, chacun des personnages a un poil dans la main, bien que l'argent, le butin pour être plus exacte, soit la priorité absolue de tous ces branquignols. Et c'est ce qui rend la lecture du polar amusante malgré l'enjeu du braquage et du magot à récupérer. Si vous voulez rire de la situation d'Antoine et des autres personnages, c'est le saleté de roman de "mouette" et de "poisson rouge" qu'il vous faut.
Léger et sans prise de tête, ce polar nous amuse et nous captive par ses jurons autour des mouettes et son humour particulier.
Pour vous la faire courte, Antoine, un simple caissier Carrefour se fait braquer sa caisse et perd, par conséquent, tout l'argent qui s'y trouvait. C'est sans compter la colère de son employeur aka Petit-Chef qu'Antoine va prendre ses cliques et ses claques. Ras-le-bol de ce chef qui se pisse dessus ! Antoine ne va pas se laisser faire et va tout tenter afin de mettre le grappin sur le pognon volé.
C'est alors qu'au cours de sa mission de récupération, Antoine va rencontrer un groupe d'individus pas très fute-fute. La mission braquage grimpe d'un niveau... ou pas. Notre cher caissier n'a qu'un mot en tête : la vengeance.
Une vengeance qui a plus d'un tour dans son sac et qui va s'avérer mutuelle. Elle va tourner autour du pot tel un match de tennis où chacun se renvoie la balle en permanence. C'est peut-être un jeu amusant pour nous à lire mais ça l'est encore moins pour nos compères, d'autant plus que le chef incontinent ne va pas les laisser s'en tirer, Antoine avec.
Il n'est peut-être pas très commode et est maladroit mais lui aussi va profiter de la situation. Comment ? La troupe d'Antoine va-t-elle réussir à se défaire de ce parasite ?
Mine de rien, chacun des personnages a un poil dans la main, bien que l'argent, le butin pour être plus exacte, soit la priorité absolue de tous ces branquignols. Et c'est ce qui rend la lecture du polar amusante malgré l'enjeu du braquage et du magot à récupérer. Si vous voulez rire de la situation d'Antoine et des autres personnages, c'est le saleté de roman de "mouette" et de "poisson rouge" qu'il vous faut.
