En une petite vingtaine de pages,
Vivant Denon conte une histoire bien dans le genre des jeux de l'amour et du hasard passés à la postérité sous le terme de marivaudages. L'écriture est plaisante et la morale tout autant, puisque le héros cherchant s'il y en avait une à tout cela, conclut ses réflexions par la négative ; pourtant, l'auteur n'est sans doute pas de cet avis qui donne à voir le talent d'une rouée et l'aveuglement de ses trois dupes... sous un titre qui ne m'avait pas interpelée mais prend toute sa saveur lors de l'épilogue.
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