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Critique de Davalian
Larry's paradise puis Kate's hell : voici un dytique qui tient beaucoup au passé du jeune Larry. Pour autant, l'intrigue tente également de jouer la carte de l'actualité financière pour nous faire découvrir un album de qualité. Si toutes les promesses suscitées par l'album précédent ne sont remplies, sa lecture n'en demeure pas moins plaisante.
Contrairement à ce que l'on aurait pu attendre, l'intrigue n'est pas uniquement orientée sur les révélations d'évasions fiscales. Sans être marginale, l'on sent qu'il ne s'agit pas de la préoccupation première du scénario. D'ailleurs, certains développements semblent avoir été oubliés en cours de route (grève générale par exemple). S'agit-il d'un oubli stratégique ou volontaire ? le scénario du tome précédent ayant été composé avant les Panama Papers, l'on ne peut toutefois que saluer l'inspiration de Desberg. Il va également être question de terrorisme fiscal, un nouveau thème original mais peu exploité.
Larry peine à trouver ou retrouver sa position de chevalier blanc. Et pour cause : les intrigues secondaires tiennent ici plus de place que l'histoire principale et cela est bien regrettable. Les révélations faites de ce côté-là permettent de renouer avec un passé que l'on songeait clôt : que nenni ! Les orientations prises se révèlent prévisibles. Elles donnent d'ailleurs l'impression de tourner en rond.
Les dessins sont toujours aussi réussis et nous font passer un bon moment. Comme de coutume le style est réaliste et précis, net et sans bavures. Quelques personnages connus viennent épauler Larry, d'autres (que l'on devine récurrents) font leur apparition : la série garde un certain potentiel. le dénouement ne surprend guère et laisse certaines portes ouvertes.
Kate's hell est donc légèrement moins bon que les albums passés. le constat reste tout relatif car nous restons malgré tout avec un album de qualité. L'envie de découvrir la suite des aventures du protagoniste reste toujours aussi pressante.
Contrairement à ce que l'on aurait pu attendre, l'intrigue n'est pas uniquement orientée sur les révélations d'évasions fiscales. Sans être marginale, l'on sent qu'il ne s'agit pas de la préoccupation première du scénario. D'ailleurs, certains développements semblent avoir été oubliés en cours de route (grève générale par exemple). S'agit-il d'un oubli stratégique ou volontaire ? le scénario du tome précédent ayant été composé avant les Panama Papers, l'on ne peut toutefois que saluer l'inspiration de Desberg. Il va également être question de terrorisme fiscal, un nouveau thème original mais peu exploité.
Larry peine à trouver ou retrouver sa position de chevalier blanc. Et pour cause : les intrigues secondaires tiennent ici plus de place que l'histoire principale et cela est bien regrettable. Les révélations faites de ce côté-là permettent de renouer avec un passé que l'on songeait clôt : que nenni ! Les orientations prises se révèlent prévisibles. Elles donnent d'ailleurs l'impression de tourner en rond.
Les dessins sont toujours aussi réussis et nous font passer un bon moment. Comme de coutume le style est réaliste et précis, net et sans bavures. Quelques personnages connus viennent épauler Larry, d'autres (que l'on devine récurrents) font leur apparition : la série garde un certain potentiel. le dénouement ne surprend guère et laisse certaines portes ouvertes.
Kate's hell est donc légèrement moins bon que les albums passés. le constat reste tout relatif car nous restons malgré tout avec un album de qualité. L'envie de découvrir la suite des aventures du protagoniste reste toujours aussi pressante.
