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Critique de Stemilou
Louise a du caractère et compte bien décider du chemin que prendra sa vie. Dans ce Paris de la fin du XIXème siècle la place d'une fille/femme est auprès d'un homme, père, frère ou mari, ou encore au travail comme Louise qui travaille dans les champs du lever du soleil au coucher. Louise est maraîchère à Bobigny qui n'était alors que de vastes champs, elle a été placée chez un fermier après que sa mère, suite à des problèmes financiers, se soit engagée auprès d'une famille bourgeoise de Paris.
A 13 ans, celle que l'on surnomme la Capucine, ne rêve que de prendre son destin en main et d'accéder à la liberté. Elle aime la terre et s'en sort plutôt bien alors pourquoi ne pas le faire pour son propre compte plutôt que de trimer pour rien. Mais sans argent le rêve n'est qu'une illusion. Pourtant après une visite à sa mère un jour de marché à Paris, Louise, accompagnée par ma cuisinière Bernadette, va faire un pas vers l'indépendance.
Après une énième raclée reçu de son maître Gaston, Louise fuit la ferme et rejoint Paris, se réfugiée auprès de sa mère qui parviendra à lui trouver un travail dans ses cordes: s'occuper du parc de la propriété. Un nouveau départ bouleverser par un événement qui lui ouvrira les yeux.
Un charmant récit qui met en lumière une héroïne de la Belle Époque, qui loin d'être merveilleuse pour tout le monde, offrait tout de même des possibilité de liberté. On y découvre les carcans sociaux, la vie de paysans et celle des petites mains des maisons bourgeoises, le spiritisme qui avait pris une ampleur considérable et la bonne cuisine de Bernadette.
Ce roman est une belle approche, pour les jeunes lecteurs, de la vie d'autrefois.
Lien : https://stemiloubooks.wordpr..
A 13 ans, celle que l'on surnomme la Capucine, ne rêve que de prendre son destin en main et d'accéder à la liberté. Elle aime la terre et s'en sort plutôt bien alors pourquoi ne pas le faire pour son propre compte plutôt que de trimer pour rien. Mais sans argent le rêve n'est qu'une illusion. Pourtant après une visite à sa mère un jour de marché à Paris, Louise, accompagnée par ma cuisinière Bernadette, va faire un pas vers l'indépendance.
Après une énième raclée reçu de son maître Gaston, Louise fuit la ferme et rejoint Paris, se réfugiée auprès de sa mère qui parviendra à lui trouver un travail dans ses cordes: s'occuper du parc de la propriété. Un nouveau départ bouleverser par un événement qui lui ouvrira les yeux.
Un charmant récit qui met en lumière une héroïne de la Belle Époque, qui loin d'être merveilleuse pour tout le monde, offrait tout de même des possibilité de liberté. On y découvre les carcans sociaux, la vie de paysans et celle des petites mains des maisons bourgeoises, le spiritisme qui avait pris une ampleur considérable et la bonne cuisine de Bernadette.
Ce roman est une belle approche, pour les jeunes lecteurs, de la vie d'autrefois.
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