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Critique de crepusculire
Bon je viens de terminer ce deuxième tome de la saga absolu et j'ai pas mal de point à aborder. le premier tome avait été un vrai coup de coeur mais ce deuxième est beaucoup plus en demie teintes pour ma part.
Premièrement la première chose qui m'a beaucoup peiné lors de ce deuxième tome c'est le rythme. Loin d'être lent il est au contraire beaucoup trop rapide. On découvre de nouveaux personnages, de nouvelles menaces, de nouvelles structures mais tout cela est fait à mon goût trop rapidement. En effet comme pour le premier tome on reste dans une formule axée sur l'action. Si cela concordait parfaitement avec le tome 1, pour ce volume cela nuit complément à l'intrigue. Les enjeux s'accumulent, les motivations restent floues et les intentions ambiguës.
Deuxième problème et qui pour moi est peut être plus grave. C'est l'effet cliché que j'ai ressenti pendant une partie de ma lecture concernant le point de vue de certaine personnages. On est dans une dystopie alors bien sûr il existe des codes établis du genre et tout l'intérêt d'un très bon auteur c'est d'arriver à maîtriser ces codes sans tomber dans le cliché. Dans ce deuxième tome je n'ai pas l'impression que Margot est réussi à innover et surtout à présenter un récit qui paraît original. Lors des passages abordants le gouvernement d'Erit, ses gouvernants et ses secrets je n'ai eu aucune surprises aux moments de révélations tellement tous semblaient évidents. de même pour certaines relations entre personnages qui se développent bien trop vites et non rien de naturel.
Comparé aux Mobilisés, les Effacés semblent manquer de profondeur individuelle. Il ouvre de nombreuses pistes narratives sans les conclure. Ce n'est que mon avis mais dans ce tome Margot s'inspire trop des oeuvres du genre sans arriver à donner un caractère original à son récit.
Pour conclure, la plume reste belle mais la construction de la narration m'a bien déçue dans ce tome. J'espère que le tome 3 relèvera la barre.
Premièrement la première chose qui m'a beaucoup peiné lors de ce deuxième tome c'est le rythme. Loin d'être lent il est au contraire beaucoup trop rapide. On découvre de nouveaux personnages, de nouvelles menaces, de nouvelles structures mais tout cela est fait à mon goût trop rapidement. En effet comme pour le premier tome on reste dans une formule axée sur l'action. Si cela concordait parfaitement avec le tome 1, pour ce volume cela nuit complément à l'intrigue. Les enjeux s'accumulent, les motivations restent floues et les intentions ambiguës.
Deuxième problème et qui pour moi est peut être plus grave. C'est l'effet cliché que j'ai ressenti pendant une partie de ma lecture concernant le point de vue de certaine personnages. On est dans une dystopie alors bien sûr il existe des codes établis du genre et tout l'intérêt d'un très bon auteur c'est d'arriver à maîtriser ces codes sans tomber dans le cliché. Dans ce deuxième tome je n'ai pas l'impression que Margot est réussi à innover et surtout à présenter un récit qui paraît original. Lors des passages abordants le gouvernement d'Erit, ses gouvernants et ses secrets je n'ai eu aucune surprises aux moments de révélations tellement tous semblaient évidents. de même pour certaines relations entre personnages qui se développent bien trop vites et non rien de naturel.
Comparé aux Mobilisés, les Effacés semblent manquer de profondeur individuelle. Il ouvre de nombreuses pistes narratives sans les conclure. Ce n'est que mon avis mais dans ce tome Margot s'inspire trop des oeuvres du genre sans arriver à donner un caractère original à son récit.
Pour conclure, la plume reste belle mais la construction de la narration m'a bien déçue dans ce tome. J'espère que le tome 3 relèvera la barre.
