C'est cash, c'est dur et cela met en lumière toute la désespérance et l'horreur de ces vies qu'on ballade faute de leur trouver un peu d'humanité à leur offrir à défaut d'un lieu en paix dans lequel se poser ...
Une pluralité de voix au début comme autant de "déshumains" qui cherchent leur chemin, qui fuient un pays en guerre ou une misère trop intense, puis un homme qui parle de l'individu. Par nécessité autant qu'urgence. C'est difficile à lire parce que la réalité de ces hommes est difficile à affronter.
Heureusement qu'une lueur d'espoir apparaît en la personne d'un maire solitaire et un peu bourru mais qui décide de se lever et d'affronter l'avis des autres contre la pensée humaniste de lui tout seul !
Une belle fin donc, ouf ... Parce que franchement la lecture a été douloureuse.
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