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Critique de karmemma


Ce tome apporte donc le dénouement du précédent. Et autant le 6 était touffu et riche, autant celui-ci m'a semblé parfois emprunter des raccourcis un peu obscurs ou au contraire trop évidents. Je suis peut-être trop exigeante avec le scénario mais je n'y peux rien !

La jolie chatte qui succède à Iris à la tête du théâtre n'est autre qu'Alma, l'ex de Blacksad, entre temps remariée avec un chien dont le rôle dans l'affaire est un peu escamoté. Weekly se tire du mauvais pas où il avait été fourré en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, tandis que différentes trahisons sont révélées. le goéland tueur ne renonce pas au crime après la mort de Drill, son fils atteint de polio, qui attendait pourtant la faucheuse comme une délivrance. Et Solomon, l'aigle aux grands travaux, triomphe à la fin.
Il triomphe ?? Presque ! J'avoue que je n'avais pas du tout vu venir la fin, ni l'identité de la personne qui lui fait finalement mordre la poussière.

A côté de tout cela, les dessins sont toujours aussi sublimes et l'anthropomorphisme des animaux exploité à la perfection, y compris chez les personnages secondaires. Si bien que la BD reste un régal à lire quoi qu'il s'y passe !
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