Lu à petites doses, cela reste lisible. le salmigondis mystico-religieux de Dick énerve parfois (souvent ?), heureusement qu'il y a de l'humour (noir).
On oscille entre le cocasse et le puéril, et on admire le talent de Dick pour nous raconter une histoire dans l'histoire.
Je ne lirai pas les 2 autre tomes mais cela m'a donné l'envie de lire "Confession d'un barjo".
Ceci dit, et malgré la légendaire "conférence de Metz", je reste convaincu que Dick était sain d'esprit. Outre son talent de novelliste, il avait cette capacité de mettre en scène la folie (ou du moins des pathologies psy) dans des histoires dérangeantes, amusantes et touchantes.
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