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Critique de Mero
Les amateurs de science-fiction fans des aventures du Docteur Who seront ravis par la lecture de ce 11ème tome de la série qui reste une fois de plus fidèle à l'oeuvre originale.
J'apprécie beaucoup la pagination des éditions French Eyes, il est important de le souligner car c'est un format très souple, agréable au toucher et graphiquement superbe. Un format parfaitement adapté au genre du Comics qu'ils comptent conserver et c'est tant mieux.
Les deux histoires que comptent le tome sont vraiment dans la veine de ce qu'on est habitué à regarder lorsque l'on connaît déjà la mécanique de la série avec sa galerie de personnages qui lui est propre. Un tome rempli de l'humour irrésistible du Docteur Who qui m'a rappelé mes grandes nuits de veille devant France 4. Même si je fais partie de ceux qui ne sont pas fans des oeuvres dérivés d'une oeuvre originale, je ne peux que constater que les tomes de French Eyes sont toujours aussi soignés et apportent un vrai plus par leur originalité ! Les auteurs ainsi que les graphistes redoublent d'éfforts pour un résultat qui s'avère à la fois court et irrésistible. C'est tellement chronophage que l'on en démord pas. Vivement la suite !
J'apprécie beaucoup la pagination des éditions French Eyes, il est important de le souligner car c'est un format très souple, agréable au toucher et graphiquement superbe. Un format parfaitement adapté au genre du Comics qu'ils comptent conserver et c'est tant mieux.
Les deux histoires que comptent le tome sont vraiment dans la veine de ce qu'on est habitué à regarder lorsque l'on connaît déjà la mécanique de la série avec sa galerie de personnages qui lui est propre. Un tome rempli de l'humour irrésistible du Docteur Who qui m'a rappelé mes grandes nuits de veille devant France 4. Même si je fais partie de ceux qui ne sont pas fans des oeuvres dérivés d'une oeuvre originale, je ne peux que constater que les tomes de French Eyes sont toujours aussi soignés et apportent un vrai plus par leur originalité ! Les auteurs ainsi que les graphistes redoublent d'éfforts pour un résultat qui s'avère à la fois court et irrésistible. C'est tellement chronophage que l'on en démord pas. Vivement la suite !
