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Critique de lesgeekeries
J'ai toujours commencé les tomes de la saga Hybrides avec impatience et avec plaisir, je savais d'avance que j'allais passer un bon moment et que le livre allait être dévoré rapidement. Pourtant ce dix-septième tome a un goût amer. Je ne suis pas prête à voir la saga s'arrêter maintenant, et c'est avec le coeur lourd que j'ai commencé ma lecture. le tout en gardant un minuscule espoir de revoir un jour mes chers Hybrides.
Et puis le début du roman m'a fait oublier toutes mes craintes, en quelques lignes j'ai retrouvé le plaisir du monde des Hybrides et la douceur de la plume de Laurann Donher. En quelques mots j'étais de nouveau à fond dans l'histoire. Il faut dire que Mary avec sa peur farouche de tous les animaux est assez comique, surtout lorsqu'elle se sent persécutée même par des poissons rouges, il y a de quoi nous dérider dès les premières pages.
Surtout au vu de la réaction de Mary envers les animaux et des animaux envers Mary on se demande bien comment elle va pouvoir accepter le statut hybride d'un homme. Et c'est ce qui va apporter le piquant et le piment à l'histoire. Ce tome m'a beaucoup fait sourire et j'avoue en être la première surprise. Étonnamment je ne m'attendais pas du tout à une histoire de ce genre, et être encore prise de court après aussi longtemps me prouve combien cette saga a su se renouveler.
Une chose est sûre, je ne m'attendais pas du tout à un début comme celui-ci. Et encore a ce que les choses partent aussi vite en cacahuète ! Parce que oui il n'y a pas d'autres mots en quelques minutes, toute la vie de Mary va basculer. C'est un démarrage sur les chapeaux de roues que nous propose l'auteur. Je voyais l'héroïne comme une petite chose fragile qu'il fallait protéger et épargner, mais en réalité la bousculer et la mettre face à ses peurs est probablement le meilleur choix. C'était la façon la plus juste pour l'auteure de nous amener son histoire.
C'est un tome tout doux qui clôture de façon délicieuse la saga, même si je ne suis pas prête à quitter nos beaux hybrides. Et puis moi aussi je veux un homme qui ronronne ! Plus sérieusement, si l'histoire doit se terminer ici je suis heureuse de la finir avec un tome aussi mignon et qui m'aura donné la pêche. Ce tome est une vraie bouffée d'endorphine.
Et puis le début du roman m'a fait oublier toutes mes craintes, en quelques lignes j'ai retrouvé le plaisir du monde des Hybrides et la douceur de la plume de Laurann Donher. En quelques mots j'étais de nouveau à fond dans l'histoire. Il faut dire que Mary avec sa peur farouche de tous les animaux est assez comique, surtout lorsqu'elle se sent persécutée même par des poissons rouges, il y a de quoi nous dérider dès les premières pages.
Surtout au vu de la réaction de Mary envers les animaux et des animaux envers Mary on se demande bien comment elle va pouvoir accepter le statut hybride d'un homme. Et c'est ce qui va apporter le piquant et le piment à l'histoire. Ce tome m'a beaucoup fait sourire et j'avoue en être la première surprise. Étonnamment je ne m'attendais pas du tout à une histoire de ce genre, et être encore prise de court après aussi longtemps me prouve combien cette saga a su se renouveler.
Une chose est sûre, je ne m'attendais pas du tout à un début comme celui-ci. Et encore a ce que les choses partent aussi vite en cacahuète ! Parce que oui il n'y a pas d'autres mots en quelques minutes, toute la vie de Mary va basculer. C'est un démarrage sur les chapeaux de roues que nous propose l'auteur. Je voyais l'héroïne comme une petite chose fragile qu'il fallait protéger et épargner, mais en réalité la bousculer et la mettre face à ses peurs est probablement le meilleur choix. C'était la façon la plus juste pour l'auteure de nous amener son histoire.
C'est un tome tout doux qui clôture de façon délicieuse la saga, même si je ne suis pas prête à quitter nos beaux hybrides. Et puis moi aussi je veux un homme qui ronronne ! Plus sérieusement, si l'histoire doit se terminer ici je suis heureuse de la finir avec un tome aussi mignon et qui m'aura donné la pêche. Ce tome est une vraie bouffée d'endorphine.
