De surprise en surprise, et toujours plus agréable. Avec cet ouvrage,
Dostoïevski s'approche dangereusement (pour notre plus grand bonheur) de la comédie, dans tous les sens du terme. Toujours en s'intéressant à la tourmente d'un être, en la matérialisant même, l'auteur met ici en scène le sentiment de jalousie face à son impossibilité de ne pas être. Ce ton léger, qui en couvre un plus grave, confère au récit une dérision qui donne presque envie d'être triste avec le sourire.
Dostoïevski ou la clé de la folie, un grand merci.
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