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Critique de lechristophe
"La fuite" termine le diptyque consacré au passé de Giacomo et à sa demi-soeur La Fiammina.
Giacomo, après l'avoir vaincue en duel, lui révèle leur passé commun et leurs liens de naissance. Elle décide alors de retourner sa vengeance, qu'elle destinait initialement à tous les hommes, envers seulement leur père. Mais sa tête est mise à prix à Venise et nombreux sont ceux qui veulent lui passer leur lame en travers du corps. Il ne lui faudra pas moins de toute son habileté à l'escrime et l'aide de Giacomo pour réussir à survivre...
Un épisode plein de fureur, de combats et d'aventures mais qui m'a paru trop court. Il me semble que le format de 48 pages était également trop juste aux auteurs qui font intervenir l'épisode de l'affrontement de la Fiammina avec son autre demi-frère sans explication. Quelques planches explicatives n'auraient pas été de trop : pourquoi La Fiammina, qui quitte la maison close de Mme Aquilani à Venise, assiste, deux planches plus loin, en pleine campagne à une attaque d'une meute de chiens sur un gentilhomme qui lui apprend que l'agresseur est son second demi-frère ? Pourquoi se trouve-t-elle soudainement sur les lieux ?
Dommage que Parmeno soit trop rare, il apporte toujours une bonne touche d'humour à l'ensemble. Autre bémol, le titre et la couverture (un Giacomo aux yeux humides faisant un signe d'adieu à un navire) ne laissent aucun doute sur la fin de l'album avant même de l'avoir ouvert.
Giacomo, après l'avoir vaincue en duel, lui révèle leur passé commun et leurs liens de naissance. Elle décide alors de retourner sa vengeance, qu'elle destinait initialement à tous les hommes, envers seulement leur père. Mais sa tête est mise à prix à Venise et nombreux sont ceux qui veulent lui passer leur lame en travers du corps. Il ne lui faudra pas moins de toute son habileté à l'escrime et l'aide de Giacomo pour réussir à survivre...
Un épisode plein de fureur, de combats et d'aventures mais qui m'a paru trop court. Il me semble que le format de 48 pages était également trop juste aux auteurs qui font intervenir l'épisode de l'affrontement de la Fiammina avec son autre demi-frère sans explication. Quelques planches explicatives n'auraient pas été de trop : pourquoi La Fiammina, qui quitte la maison close de Mme Aquilani à Venise, assiste, deux planches plus loin, en pleine campagne à une attaque d'une meute de chiens sur un gentilhomme qui lui apprend que l'agresseur est son second demi-frère ? Pourquoi se trouve-t-elle soudainement sur les lieux ?
Dommage que Parmeno soit trop rare, il apporte toujours une bonne touche d'humour à l'ensemble. Autre bémol, le titre et la couverture (un Giacomo aux yeux humides faisant un signe d'adieu à un navire) ne laissent aucun doute sur la fin de l'album avant même de l'avoir ouvert.
