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Critique de lechristophe


Giacomo est très embêté : il a si bien fait la cour à Elvira, la nièce de Bagradino, que cette dernière est maintenant folle amoureuse de lui. D'un côté, elle est très riche, de l'autre, elle est très moche (d'où le titre de l'album "La non-belle"). Et puis, Giacomo doit sauver Angelina de sa sentence de mort. Des indices, que le marquis de San Vere n'a pas encore remarqués au cours de son enquête sur les morts mystérieuses survenues récemment à Venise, conduisent Giacomo jusqu'au comte d'Alvisio. Et, coïncidence, ce même comte est relié au douloureux passé d'Angelina et à un obscur secret tû depuis des années...

Une fin de cycle un peu abrupte et décevante qui alterne les situations comiques (celles avec Elvira) et les situations tragiques (passé d'Angelina, vie d'Arturo). La fin est tellement brusque que des mystères (pour moi) sont restés inexpliqués ou mal expliqués : que viennent faire le trafic d'objets d'art et le faussaire Gaglia dans l'histoire ? Pourquoi les messages laissés par Arturo ne comportent-ils que deux lettres à chaque fois ? Il s'est bien compliqué la vie pour simplement écrire le prénom d'Angelina. Et surtout, pourquoi tue-t-il ? Ce n'est pas parce qu'il tue quatre personnes que cela va faire sortir Angelina de prison ! Il y a quelque chose qui a dû m'échapper dans le scénario. Faut que je relise l'album plus attentivement... Et puis, un épisode de Giacomo C. sans que ce dernier ne pratique le libertinage, c'est quand même moins bien, non !
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