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Critique de tchouk-tchouk-nougat


Nous sommes dans une sorte de futur indéterminé. Les hommes livrent une bataille sans merci à une armée de monstres aux formes multiples mais repoussantes. Ils sont nombreux, très nombreux. et intelligents.
Il n'existe plus qu'une ville fortifiée qui résiste : Medina.
Les hommes meurent en combattant les monstres. Mais les hommes meurent aussi car une étrange maladie les transforment en ces bêtes. Que leur reste-t-il alors comme espoir de survie?
C'est pour cela que Karlof reviens de mission, une mission suicide. Mais il a réussi et en ramène une jeune femme. Cette jeune femme porte l'espoir que Medina resiste.

Dufaux nous entraine dans un univers de science fiction plutot étrange et très sombre. On ressent ce desespoir qui impregne les cases. Même les héros ne semblent pas y croire. Difficile nous aussi de ne pas succomber au pessimiste.

J'ai eu du mal à accrocher aux dessins. Je suppose que c'est une question de point de vue car techniquement il n'y a pas grand chose à reprocher. Les couleurs surtout sont désagréables. Très froides ou rouges sanglantes. Parfois mélangées dans des constrates qui piquent les yeux.


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