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Critique de CelineChaix
Ce dernier tome nous conte la lutte incessante et vaine de la lignée des Princes pour conserver leur indépendance. Dumas mélange toujours avec génie le roman et les faits réels si bien que nous n'avons pas l'impression de lire un livre d'histoire. L'accent est mis sur la partie italienne, notamment la 1ère guerre d'indépendance italienne mais c'est ici que l'histoire, la vraie, est la plus fournie.
Certains aspects sont peu développés : ce que Charles-Albert a mis en oeuvre d'un point de vue économique pour le développement de son royaume notamment. Il a fallu que je complète ma lecture. Mais ne perdons pas de vue que nous lisons un roman.
Cela étant dit, globalement, l'histoire de la Maison de Savoie est déjà très dense et les quelques 1200 pages sont très documentées. La plume de l'auteur rend ces 4 pavés simples, intéressants et souvent captivants. Laissez de côté la légère appréhension qui peut se manifester à la vue de ces imposants libres, les 1ères pages la réduiront à néant.
Pour finir, les mots empruntés à un autre romancier de génie qui me sont venus à l'esprit après avoir fermé le dernier tome de cette saga, et qui à mon sens résument cette oeuvre sont « Splendeurs et Misères des Ducs de Savoie ». Ils n'empruntent rien aux courtisanes !
Certains aspects sont peu développés : ce que Charles-Albert a mis en oeuvre d'un point de vue économique pour le développement de son royaume notamment. Il a fallu que je complète ma lecture. Mais ne perdons pas de vue que nous lisons un roman.
Cela étant dit, globalement, l'histoire de la Maison de Savoie est déjà très dense et les quelques 1200 pages sont très documentées. La plume de l'auteur rend ces 4 pavés simples, intéressants et souvent captivants. Laissez de côté la légère appréhension qui peut se manifester à la vue de ces imposants libres, les 1ères pages la réduiront à néant.
Pour finir, les mots empruntés à un autre romancier de génie qui me sont venus à l'esprit après avoir fermé le dernier tome de cette saga, et qui à mon sens résument cette oeuvre sont « Splendeurs et Misères des Ducs de Savoie ». Ils n'empruntent rien aux courtisanes !
