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Critique de theliteraryvoyager
Les Trois Mousquetaires, saison 3 partie 1 ⚜️
Il n'y a pas à dire, Alexandre Dumas était un visionnaire. Non seulement, il a plus ou moins inventé le concept de série car après le premier roman des « Trois Mousquetaires » vient une suite moins connue mais tout autant captivante (si ce n'est plus) « Vingt Ans Après », et enfin le « Vicomte de Bragelonne » clôture cette trilogie chevaleresque. Mais voilà que maintenant, Dumas choisit de faire durer le suspens de ce dernier roman en plusieurs parties. Alors, enfilez vos bottes en cuir, votre plus beau chapeau et prenez votre plus fine épée, c'est parti pour une ultime aventure qui s'annonce épique !
Dans ce premier tome, nous retrouvons ici D Artagnan, en pleine crise de la cinquantaine, voguant (trop) doucement, au service du jeune Louis XIV occupé à ses amours avec Marie Mancini, nièce du cardinal de Mazarin, son mentor, qui gouverne le pays. Mais notre fier mousquetaire s'ennuie et les temps sont durs pour les jeunes rois d'Europe, sans fortune, dont le pouvoir est toujours plus atténué par d'ambitieux ministres. Alors quand le cousin du roi, Charles d'Angleterre, demande l'aide de celui-ci pour reconquérir son trône, il n'en faut pas plus pour D Artagnan. Voilà de quoi renouer avec les aventures et l'adrénaline d'autrefois ! Ce sera toutefois sans ses amis de toujours, qu'il manque de trouver chez eux pour l'accompagner… étrange !
Je n'en dirai pas plus sur l'intrigue, mais ce tome semble poser les bases d'un récit qui prendra davantage d'ampleur dans les tomes suivants, avec notamment les amours heureux ou contrariés des jeunes personnages qui entrent ici en scène, mais aussi la chute de Fouquet, ministre des finances qui s'est rêvé roi à la place du roi.
Si ce tome est un peu moins prenant que les précédents, cela n'enlève rien au plaisir de retrouver l'univers d'Alexandre Dumas. Ses récits sont toujours riches d'humour, de suspens, de bravoure et de cette amitié légendaire que rien ou presque ne semble pouvoir altérer. Il y a quelque chose de romanesque dans l'écriture de Dumas qui fait rêver, vibrer, voyager, rire, pleurer, frissonner dès les premières lignes… incontestablement une valeur sure !
Il n'y a pas à dire, Alexandre Dumas était un visionnaire. Non seulement, il a plus ou moins inventé le concept de série car après le premier roman des « Trois Mousquetaires » vient une suite moins connue mais tout autant captivante (si ce n'est plus) « Vingt Ans Après », et enfin le « Vicomte de Bragelonne » clôture cette trilogie chevaleresque. Mais voilà que maintenant, Dumas choisit de faire durer le suspens de ce dernier roman en plusieurs parties. Alors, enfilez vos bottes en cuir, votre plus beau chapeau et prenez votre plus fine épée, c'est parti pour une ultime aventure qui s'annonce épique !
Dans ce premier tome, nous retrouvons ici D Artagnan, en pleine crise de la cinquantaine, voguant (trop) doucement, au service du jeune Louis XIV occupé à ses amours avec Marie Mancini, nièce du cardinal de Mazarin, son mentor, qui gouverne le pays. Mais notre fier mousquetaire s'ennuie et les temps sont durs pour les jeunes rois d'Europe, sans fortune, dont le pouvoir est toujours plus atténué par d'ambitieux ministres. Alors quand le cousin du roi, Charles d'Angleterre, demande l'aide de celui-ci pour reconquérir son trône, il n'en faut pas plus pour D Artagnan. Voilà de quoi renouer avec les aventures et l'adrénaline d'autrefois ! Ce sera toutefois sans ses amis de toujours, qu'il manque de trouver chez eux pour l'accompagner… étrange !
Je n'en dirai pas plus sur l'intrigue, mais ce tome semble poser les bases d'un récit qui prendra davantage d'ampleur dans les tomes suivants, avec notamment les amours heureux ou contrariés des jeunes personnages qui entrent ici en scène, mais aussi la chute de Fouquet, ministre des finances qui s'est rêvé roi à la place du roi.
Si ce tome est un peu moins prenant que les précédents, cela n'enlève rien au plaisir de retrouver l'univers d'Alexandre Dumas. Ses récits sont toujours riches d'humour, de suspens, de bravoure et de cette amitié légendaire que rien ou presque ne semble pouvoir altérer. Il y a quelque chose de romanesque dans l'écriture de Dumas qui fait rêver, vibrer, voyager, rire, pleurer, frissonner dès les premières lignes… incontestablement une valeur sure !
