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Critique de alexis1226
Les fleurs, ça pousse, ça fleurit et ça fane
Ici, deux fleurs s'alternent : l'une, discrète et petite ; l'autre, flamboyante et aguichante. Ce champ fleuri a donc empli mes mornes soirées, où le printemps a arrêté son éclosion et tente en vain de résister à l'assaut des vicissitudes des saisons déréglées
Je ne pourrai pas vraiment épancher ma passion pour ce type de romans, mais je l'ai adoré ! Sûrement car il fait écho à d'autres oeuvres, dont Manon Lescaut, qui ont une place particulière dans mon champ littéraire encore naissant
La Dame fait peu d'apparitions lors de ce récit conté ; lorsqu'elle se présente, toute l'attention est retenue sur elle, ses faits et gestes. le lectorat suit de loin sa vie emplie de frivolité : tantôt je l'ai critiqué, d'autres fois admiré, mais rien n'a empêché sa fin tragique
Quelle langue ! Les vipères ici sont peu présentes, mais c'est bien celle de Molière qui est pendue. Je l'ai d'ailleurs perdue devant ces subjectifs imparfaits si bien placés. Certains discours sont très forts et bien écrits : quelle littérature ! J'ai même eu de la peine pour ce couple et j'ai presque cru que cela aurait pu fonctionner. Cependant, dans cette société terrible, les aspirations perdent peu à peu de pétales vifs, jusqu'au dessèchement...
Ici, deux fleurs s'alternent : l'une, discrète et petite ; l'autre, flamboyante et aguichante. Ce champ fleuri a donc empli mes mornes soirées, où le printemps a arrêté son éclosion et tente en vain de résister à l'assaut des vicissitudes des saisons déréglées
Je ne pourrai pas vraiment épancher ma passion pour ce type de romans, mais je l'ai adoré ! Sûrement car il fait écho à d'autres oeuvres, dont Manon Lescaut, qui ont une place particulière dans mon champ littéraire encore naissant
La Dame fait peu d'apparitions lors de ce récit conté ; lorsqu'elle se présente, toute l'attention est retenue sur elle, ses faits et gestes. le lectorat suit de loin sa vie emplie de frivolité : tantôt je l'ai critiqué, d'autres fois admiré, mais rien n'a empêché sa fin tragique
Quelle langue ! Les vipères ici sont peu présentes, mais c'est bien celle de Molière qui est pendue. Je l'ai d'ailleurs perdue devant ces subjectifs imparfaits si bien placés. Certains discours sont très forts et bien écrits : quelle littérature ! J'ai même eu de la peine pour ce couple et j'ai presque cru que cela aurait pu fonctionner. Cependant, dans cette société terrible, les aspirations perdent peu à peu de pétales vifs, jusqu'au dessèchement...
