Lu lycéenne. J'avais d'abord découvert Marguerite Gautier sous les traits de l'inénarrable Greta Garbo avant découvrir le chef-d'oeuvre littéraire.
(et comment oublier "La Traviata" de Verdi qui a transposé les mots en une magistrale partition)
Nous sommes encore au XIXème siècle, époque des femmes malheureuses, aux amours contrariés ou sacrifiés. J'avais aimé et cru à la sincérité de Marguerite, salué sa tempérance et le poids de son sacrifice. J'avais vibré aux élans passionnés d'Armand, même si son manque de foi a terni au final la véracité de cet amour.
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