En 1972, année internationale du livre, était publié à Bucarest ce recueil multilingue de la ballade populaire Miorița. Dommage que la préface ne soit pas elle aussi traduite. À titre anecdotique je signale que la traduction en espagnol est signée de
Maria Teresa León et
Rafael Alberti.
Dans
Une île de latinité : Culture, civilisation, langue et littérature roumaines de
Mircea Goga (p. 290 à 296) on trouve non seulement une autre traduction en français que celle que j'ai postée ici en intégralité (cf. citation), mais aussi des informations très intéressantes sur ce texte. Publiée pour la première fois en 1852 par
Vasile Alecsandri, cette ballade connaît plus de 1200 variantes et a été traduite dans plus 50 langues.
Plus que tout autre commentaire la lecture s'impose.
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