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Critique de Sanguine


J'ai honte ! Oui j'ai honte parce que je viens tout juste de terminer la lecture de ce tome 2 alors que Jérôme m'a envoyé sa saga depuis genre plus d'un an ! Je me débrouille vraiment comme une patate parce qu'en plus, j'adore cette série policière. Je vais essayer (ahaha) de terminer la série au cours de l'année 2017. Comme ça en plus, je pourrai me regarder dans le miroir ! En tout cas, merci encore une fois à Jérôme Dumont pour l'envoi de cet exemplaire numérique.

Alors que les préparatifs du Festival de Cannes battent leur plein, la responsable d'une agence de communication disparaît sans laisser de traces. Fait divers qui aurait pu être banal, sauf que la disparue n'est autre que Sabine Sasso, la femme du meilleur ami d'Amandine MacLane. Il n'en faut pas plus pour que le duo formé par Gabriel Rossetti et Amandine MacLane se reforme afin de résoudre ce mystère, à l'aide de leurs méthodes bien particulières !

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Rossetti et MacLane que j'avais beaucoup aimé dans leur première aventure qui se passait au Canada. Cette fois, l'auteur nous emmène au Festival de Cannes (oui, rien que ça) sur les traces de Sabine Sasso qui disparait de la circulation sans qu'on ne sache vraiment pourquoi. Elle laisse un mari totalement dévasté et un poste hyper en vue dans une agence de communication. On découvre que son assistante est son clone (même coupe de cheveux, vêtements presque identiques ...). Bizarre non ?

Ce sont vraiment les personnages qui font la richesse de cette série, ils sont hyper attachants (l'auteur parvient même à rendre Monsieur André sympathique alors qu'il est plutôt du genre bourru). On a presque l'impression de retrouver des amis. La relation entre Gabriel et Amandine est très bien vue parce que rien n'est précipité et l'auteur décide de faire bouger un peu les choses dans ce tome là, j'ai hâte de savoir où tout ça va nous mener. J'aime aussi beaucoup Martinez que je trouve très "réel", il pourrait être n'importe lequel d'entre nous.

Mais ce que je préfère lorsque je me plonge dans un Rossetti et MacLane, ce sont les dialogues. Ils font toute la richesse de l'ouvrage, ils donnent de l'épaisseur au récit et surtout un rythme fou ! On ne s'ennuie par une minute pendant la lecture, les pages se tournent tellement rapidement qu'on ne s'en rend pas compte et on arrive à la fin du bouquin beaucoup trop vite.

J'ai maintenant très envie de découvrir la suite et je ne vais pas (trop) attendre pour le faire !
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