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Critique de Michelinaix
Il est à noter qu'en cette fin d'année 2016, on comptait quinze ouvrages sur ce même modèle chez Balivernes, à savoir par exemple "Le chat Peau d'cow-boy", "Le chat Piteau", "Le chat Peau Seneige", plus deux imagiers en rapport. Il faut dire que cette série a démarré en 2003.
"Le Chat Bracadabra" était sorti en 2014 et il nous conte les aventures d'un chat magicien. Cet enchanteur connaît diverses aventures avec des personnages dont le nom est censé faire rire le jeune lecteur. Il pourra en effet réagir à la "fée Line", au "chat Rypotter", mais je doute que sa culture en matière de comics ("Captain Marvel" en l'occurrence) le fasse réagir à "chat Zam".
Un petit message passe autour du fait qu'il faut travailler (lire des livres de sortilèges, s'exercer aux enchantements) et ne pas compter sur un effet magique de baguette. Une moitié de l'ouvrage consiste à voir comment notre héros va faire de son ennemie la fée Charabosse (l'allusion peut être comprise) son amoureuse. Cette conclusion s'impose :
« il n'est rien de plus magique qu'un petit bisou ».
Le graphisme occupe souvent toute la page de droite et une partie variable de la page de gauche, les pages de texte (deux sur trois) proposent deux phrases portant ensemble une trentaine de mots. Chaque dernier mot d'une phrase rime avec le dernier mot de la phrase suivante. On a par ailleurs une belle collection de mots en "ette", ce qui peut être prétexte à un travail en classe après la lecture de cet album. On est dans du graphisme de type dessin animé.
"Le Chat Bracadabra" était sorti en 2014 et il nous conte les aventures d'un chat magicien. Cet enchanteur connaît diverses aventures avec des personnages dont le nom est censé faire rire le jeune lecteur. Il pourra en effet réagir à la "fée Line", au "chat Rypotter", mais je doute que sa culture en matière de comics ("Captain Marvel" en l'occurrence) le fasse réagir à "chat Zam".
Un petit message passe autour du fait qu'il faut travailler (lire des livres de sortilèges, s'exercer aux enchantements) et ne pas compter sur un effet magique de baguette. Une moitié de l'ouvrage consiste à voir comment notre héros va faire de son ennemie la fée Charabosse (l'allusion peut être comprise) son amoureuse. Cette conclusion s'impose :
« il n'est rien de plus magique qu'un petit bisou ».
Le graphisme occupe souvent toute la page de droite et une partie variable de la page de gauche, les pages de texte (deux sur trois) proposent deux phrases portant ensemble une trentaine de mots. Chaque dernier mot d'une phrase rime avec le dernier mot de la phrase suivante. On a par ailleurs une belle collection de mots en "ette", ce qui peut être prétexte à un travail en classe après la lecture de cet album. On est dans du graphisme de type dessin animé.
