À première vue, on pourrait se dire que Florence dessine toujours la même histoire. La sienne, de sa naissance à ses dix-huit ans.
Certes, c'est pas tout faux. Mais c'est bien réducteur.
A chaque opus (il semblerait que celui-ci sonne définitivement la fin de cette trilogie en 5 volumes), Florence change l'axe de son regard, propose d'autres facettes, approfondit d'autres douleurs et d'autres bonheurs.
Alors, certes, l'adolescence n'est que rarement une grosse tranche du paradis, mais pour elle, ce fut l'âge de la séparation, de la rupture, du découpage, cisaillage et tronçonnage. La grosse boucherie de la séparation d'avec sa soeur jumelle, Béné.
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