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Critique de Morphil


c'est savoureux, ça se déguste. Ça sent le jaja, le brignolet et ... les marrons chaud. L'insulte devient poétique, l'approximation historique un mythe. J'adore ce langage imagé, sans doute car il celui de mon enfance, celui de mes parents et de ma grand-mère. il n'en reste plus grand-chose, c'est dommage mais c'est dans l'ordre des choses, la langue évolue. il reste "le grand parking des Galapagos, le métro de la cordillère des Andes et les mines de Phoscao d'oubangui". du grand art.
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