Un Ellroy, même passable, c'est souvent meilleur que la plupart du reste de la production de romans noirs et polars.
Comme le signale la 4è de couverture... de quoi patienter en attendant la suite d'American Tabloid...
Un Ellroy mineur, assez personnel (mais beaucoup moins brillant que Ma Part d'Ombre), écrit à la première personne, publié par morceaux dans des journaux, où il reprend ses vieux démons, ses vieilles névroses, ses fantômes... pour monter qu'en fait ils ne disparaîtront jamais.
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