>
Critique de MariePoone
Choisi pour son thème, reçu dans le cadre de la Masse critique de mai 2016, je m'attendais à une lecture exigeante - je n'ai pas été déçue.
Charlotte Escamez décrit, exposant des cas concrets de 2007 à 2011, la transmission de l'écrit, de l'acte d'écrire auprès des plus jeunes aux plus âgés, dans toute la France, dans tous les milieux.
Cette démarche, ce combat même, est certainement d'une importance vitale aussi il est regrettable que, à moins d'être enseignant ou artiste pédagogue, cet essai soit aussi ardu pour le lecteur lambda.
Les références littéraires et artistiques très abondantes sont pointues (mais ce qui permet de découvrir des auteurs et donne envie de lire leurs ouvrages).
Je regrette également le ton parfois un brin docte, la tournure de certaines phrases absconse, ce qui a ralenti ma lecture.
Si Charlotte Escamez fait un constat de l'école assez alarmant, il n'y a aucun doute cependant sur sa bienveillance envers les écoliers et les enseignants. Et c'est bien là le coeur de sa démarche, rien ne peut s'accomplir sans bienveillance.
Charlotte Escamez décrit, exposant des cas concrets de 2007 à 2011, la transmission de l'écrit, de l'acte d'écrire auprès des plus jeunes aux plus âgés, dans toute la France, dans tous les milieux.
Cette démarche, ce combat même, est certainement d'une importance vitale aussi il est regrettable que, à moins d'être enseignant ou artiste pédagogue, cet essai soit aussi ardu pour le lecteur lambda.
Les références littéraires et artistiques très abondantes sont pointues (mais ce qui permet de découvrir des auteurs et donne envie de lire leurs ouvrages).
Je regrette également le ton parfois un brin docte, la tournure de certaines phrases absconse, ce qui a ralenti ma lecture.
Si Charlotte Escamez fait un constat de l'école assez alarmant, il n'y a aucun doute cependant sur sa bienveillance envers les écoliers et les enseignants. Et c'est bien là le coeur de sa démarche, rien ne peut s'accomplir sans bienveillance.
