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Critique de Khalya
Encore une fois, j'ai mis une éternité à me décider à sortir ce second et dernier tome de ma PAL.
De peur d'être déçue ? Peut-être.
Et comme à chaque fois que je me mets ce genre de frein, j'ai adoré ma lecture et je l'ai lue d'une seule traite.
Il y a tellement de choses à dire sur ce tome. Et c'est tellement dur d'en dire assez sans en dire trop !
On peut schématiser en disant qu'il y a d'un côté ce qui se passe sur terre et de l'autre ce qu'il se passe sur la cité céruléenne.
Le rythme et la tension sont plus soutenues que dans le premier tome.
Sur la cité, Leela cherche à comprendre ce qui est arrivé à Sera et à confondre la grande prêtresse.
La jeune fille qui n'était jusque-là « que » la meilleure amie de Sera affirme sa personnalité et j'ai adoré l'évolution de ce personnage.
Sur terre, Agnès, Sera et Léo ont atteint le pays de naissance des jumeaux.
Mais l'ambition et la cupidité de leur grand-mère va vite leur exploser au nez.
Je ne pensais pas pouvoir détester quelqu'un plus que le père de Léo et Agnès, mais cette Ambrosine est pire que tout !
Dans ce tome, on va également se plonger dans le passé, en apprendre plus sur la mère des jumeaux mais aussi découvrir ce qui a ainsi poussé la grande prêtresse à trahir les siennes.
Concernant la romance, il y a beaucoup de couples homosexuels, notamment parce que la cité du ciel n'est composée que de femmes.
Mais aussi, fait intéressant, l'hétérosexualité de Sera, qui était déjà évoquée dans le premier tome, n'est pas quelque chose considéré comme normal chez les siennes, bien que les céruléennes semblent plus ouvertes d'esprit à ce sujet que les humains.
La conclusion termine bien les arts narratifs tout en laissant une ouverture suffisante pour laisser l'imagination des lecteurs s'aiguiser un peu.
De peur d'être déçue ? Peut-être.
Et comme à chaque fois que je me mets ce genre de frein, j'ai adoré ma lecture et je l'ai lue d'une seule traite.
Il y a tellement de choses à dire sur ce tome. Et c'est tellement dur d'en dire assez sans en dire trop !
On peut schématiser en disant qu'il y a d'un côté ce qui se passe sur terre et de l'autre ce qu'il se passe sur la cité céruléenne.
Le rythme et la tension sont plus soutenues que dans le premier tome.
Sur la cité, Leela cherche à comprendre ce qui est arrivé à Sera et à confondre la grande prêtresse.
La jeune fille qui n'était jusque-là « que » la meilleure amie de Sera affirme sa personnalité et j'ai adoré l'évolution de ce personnage.
Sur terre, Agnès, Sera et Léo ont atteint le pays de naissance des jumeaux.
Mais l'ambition et la cupidité de leur grand-mère va vite leur exploser au nez.
Je ne pensais pas pouvoir détester quelqu'un plus que le père de Léo et Agnès, mais cette Ambrosine est pire que tout !
Dans ce tome, on va également se plonger dans le passé, en apprendre plus sur la mère des jumeaux mais aussi découvrir ce qui a ainsi poussé la grande prêtresse à trahir les siennes.
Concernant la romance, il y a beaucoup de couples homosexuels, notamment parce que la cité du ciel n'est composée que de femmes.
Mais aussi, fait intéressant, l'hétérosexualité de Sera, qui était déjà évoquée dans le premier tome, n'est pas quelque chose considéré comme normal chez les siennes, bien que les céruléennes semblent plus ouvertes d'esprit à ce sujet que les humains.
La conclusion termine bien les arts narratifs tout en laissant une ouverture suffisante pour laisser l'imagination des lecteurs s'aiguiser un peu.
