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Critique de LoupAlunettes
La vie des autres en immeuble et en album, l'album en parle.
Heureusement, cela ne se vérifie pas d'un plafond à un autre, l'auteur nous tire jusqu'aux paliers des étages pour constater qu'il y a de la vie à tous les étages.
Nous partons d'un jeune duo de frères confinés à la maison, qui s'ennuie un jour de pluie et qui décide de se promener dans les couloirs de l'immeuble.
Nous supposons vite une proximité de résidents qui suppose que les deux gamins ne risquent rien à sortir du logement de l'appartement 3.
Les grands lecteurs pourront en profiter pour glisser leurs propres consignes auprès des jeunes lecteurs concernant la sécurité ou la vie privée d'autrui, la chouette réédition de l'oeuvre originale date de 1971 et la belle époque où l'on pouvait laisser les mômes cavaler librement dans un quartier sans surveillance est un peu révolu.
D'un appartement à un autre, les frères, dont un suffisamment grand pour prendre soin de l'autre, s'adonnent à un jeu d'indiscrétion, reconnaissant les voix et devinant les actions de chacun.
L'originalité de l'album, l'auteur Ezra Jack Keats va faire intervenir le thème du handicap avec un voisin non voyant qui battra les deux frères à plate couture sur le jeu de devinette.
Une finalité originale, en effet, puisque de l'ennui nous arriverons à la considération de l'autre, voire même à une fête des voisins improvisée à trois.
Un album intéressant à plusieurs niveaux.
Heureusement, cela ne se vérifie pas d'un plafond à un autre, l'auteur nous tire jusqu'aux paliers des étages pour constater qu'il y a de la vie à tous les étages.
Nous partons d'un jeune duo de frères confinés à la maison, qui s'ennuie un jour de pluie et qui décide de se promener dans les couloirs de l'immeuble.
Nous supposons vite une proximité de résidents qui suppose que les deux gamins ne risquent rien à sortir du logement de l'appartement 3.
Les grands lecteurs pourront en profiter pour glisser leurs propres consignes auprès des jeunes lecteurs concernant la sécurité ou la vie privée d'autrui, la chouette réédition de l'oeuvre originale date de 1971 et la belle époque où l'on pouvait laisser les mômes cavaler librement dans un quartier sans surveillance est un peu révolu.
D'un appartement à un autre, les frères, dont un suffisamment grand pour prendre soin de l'autre, s'adonnent à un jeu d'indiscrétion, reconnaissant les voix et devinant les actions de chacun.
L'originalité de l'album, l'auteur Ezra Jack Keats va faire intervenir le thème du handicap avec un voisin non voyant qui battra les deux frères à plate couture sur le jeu de devinette.
Une finalité originale, en effet, puisque de l'ennui nous arriverons à la considération de l'autre, voire même à une fête des voisins improvisée à trois.
Un album intéressant à plusieurs niveaux.
