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Critique de Henri-l-oiseleur
Les récits disparates de cet album m'ont toujours enchanté, malgré leur dessin pas toujours heureux et leurs coloris un peu boueux, parfois. L'imagination de l'auteur se déploie dans toute sa fantaisie, en personnages uniques, Lin Piao le dromadaire drogué au papier du japon, Naphtaline et ses cigares, le fantôme de Jussieu hantant le Jardin des Plantes (où elle habite), et ces idiots d'extraterrestres serpents envahissant la terre dont un ange casse bêtement la soucoupe volante. Divertissement garanti.
