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Critique de MaggyM
Asher Davis a besoin de se construire une image plus stable que le coureur de jupons milliardaire qu'il est. Ophelia est toujours à la recherche de scoops à vendre et pour ça parvient à infiltrer un rassemblement d'hommes d'affaires sous une fausse identité.
Asher la démasque et lui propose un marché: si elle accepte d'être sa femme pour un an, il l'aidera à lancer sa carrière et fera d'elle une femme riche. Si elle refuse, il la dénonce...
Avec un tel titre, on ne s'attend à rien d'autre que de se vider la tête pendant quelques heures. Je ne demandais pas grand chose, mais même ça je ne l'ai pas eu.
L'ensemble de l'intrigue est aussi subtil que le titre et les personnages ne tiennent vraiment pas la route.
On sent que l'autrice a été bercée aux Cinquante nuances et à Crossfire dont elle tente désespérément de répliquer quelques codes. Sauf que son ténébreux homme d'affaire se transforme en guimauve après à peine 48 heures et que sa vierge de 23 ans pourrait en remontrer aux filles de Madame Claude.
Beaucoup de scènes de sexe, trop, émaillent le récit et son assez navrantes aussi bien dans leur description que dans les dialogues qui les accompagnent.
Enfin, l'intrigue sous-jacente qui s'appuie sur les magouilles financières de l'intelligentia américaine est à l'image du reste, bâclée.
Et pour couronner l'ensemble, beaucoup trop de coquilles et de fautes d'orthographes dans un style très pauvre.
Bref, direction la boîte à livres la plus proche.
Asher la démasque et lui propose un marché: si elle accepte d'être sa femme pour un an, il l'aidera à lancer sa carrière et fera d'elle une femme riche. Si elle refuse, il la dénonce...
Avec un tel titre, on ne s'attend à rien d'autre que de se vider la tête pendant quelques heures. Je ne demandais pas grand chose, mais même ça je ne l'ai pas eu.
L'ensemble de l'intrigue est aussi subtil que le titre et les personnages ne tiennent vraiment pas la route.
On sent que l'autrice a été bercée aux Cinquante nuances et à Crossfire dont elle tente désespérément de répliquer quelques codes. Sauf que son ténébreux homme d'affaire se transforme en guimauve après à peine 48 heures et que sa vierge de 23 ans pourrait en remontrer aux filles de Madame Claude.
Beaucoup de scènes de sexe, trop, émaillent le récit et son assez navrantes aussi bien dans leur description que dans les dialogues qui les accompagnent.
Enfin, l'intrigue sous-jacente qui s'appuie sur les magouilles financières de l'intelligentia américaine est à l'image du reste, bâclée.
Et pour couronner l'ensemble, beaucoup trop de coquilles et de fautes d'orthographes dans un style très pauvre.
Bref, direction la boîte à livres la plus proche.
