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Critique de LoupAlunettes
On doit confesser un véritable intérêt pour le travail de Lucie Félix, créatif dans l'introduction de l'interactivité dans ces oeuvres et le plaisir de lecture ludique qui en découle aussitôt.
Quel est le menu de cette aventure?
Introduction des doigts des lecteurs qui deviennent participatifs,
comme sur la "promenade de Petit Bonhomme",
ou bien des doigts extérieurs à l'histoire,
assistants d'animation promus par l'auteure comme sur" Prendre et donner", en plus de l'indispensable tournage de pages et tandis que Lucie Felix raconte l'histoire.
C'est cette deuxième fonction qui sera sollicitée pour cet autre album et seulement (enfin du moins, le croit-on).
Tandis que nous découvrons l'aventure du bûcheron et du roi, les doigts des lecteurs vont découvrir les éléments cachés du décor, transformés celui-ci au fur et à mesure, une petit magie simple qui opère. Des volets camouflés dans les couleurs des fonds se soulèvent.
Mais qu'il est pénible ce roi! Il n'a qu'une passion, sa couronne et rien d'autre.
D'un ordre sans appel et tonitruant, il ordonne une énorme réserve de bois au bûcheron pour réchauffer sa haute tour, au prix même de la forêt qui se verra coupée en peu de temps qu'il ne faut pur tourner une page.
Et là, bluff!
L'auteure fait appel à nous, lecteurs, et oui, pour rendre la monnaie de sa pièce à l'égoïste monarque.
Nous ne gâcherons pas la surprise.
Mais, à notre surprise, de cette expérience, le roi en sortira grandit, bien plus haut que la taille d'un petit bonhomme serti d'une couronne.
Le niveau de cette histoire s'adressera peut-être à un lectorat capable d'entendre le petit bonheur final, d'entrer dans des histoires plus symbolique que les deux autres albums, d'un niveau 5 à 6 ans par exemple, c'est encore plus que de la manipulation ou du jeux de vocabulaire très riche pour des 3 ans et +, ce dernier est d'un cran au dessus.
C'est presque un conte de moralité qui finit bien. Envoyer ce triste personnage se faire "pendre" dans les cieux pour qu'il s'en trouve les yeux tout éblouis. C'est plutôt sympa.
Quel est le menu de cette aventure?
Introduction des doigts des lecteurs qui deviennent participatifs,
comme sur la "promenade de Petit Bonhomme",
ou bien des doigts extérieurs à l'histoire,
assistants d'animation promus par l'auteure comme sur" Prendre et donner", en plus de l'indispensable tournage de pages et tandis que Lucie Felix raconte l'histoire.
C'est cette deuxième fonction qui sera sollicitée pour cet autre album et seulement (enfin du moins, le croit-on).
Tandis que nous découvrons l'aventure du bûcheron et du roi, les doigts des lecteurs vont découvrir les éléments cachés du décor, transformés celui-ci au fur et à mesure, une petit magie simple qui opère. Des volets camouflés dans les couleurs des fonds se soulèvent.
Mais qu'il est pénible ce roi! Il n'a qu'une passion, sa couronne et rien d'autre.
D'un ordre sans appel et tonitruant, il ordonne une énorme réserve de bois au bûcheron pour réchauffer sa haute tour, au prix même de la forêt qui se verra coupée en peu de temps qu'il ne faut pur tourner une page.
Et là, bluff!
L'auteure fait appel à nous, lecteurs, et oui, pour rendre la monnaie de sa pièce à l'égoïste monarque.
Nous ne gâcherons pas la surprise.
Mais, à notre surprise, de cette expérience, le roi en sortira grandit, bien plus haut que la taille d'un petit bonhomme serti d'une couronne.
Le niveau de cette histoire s'adressera peut-être à un lectorat capable d'entendre le petit bonheur final, d'entrer dans des histoires plus symbolique que les deux autres albums, d'un niveau 5 à 6 ans par exemple, c'est encore plus que de la manipulation ou du jeux de vocabulaire très riche pour des 3 ans et +, ce dernier est d'un cran au dessus.
C'est presque un conte de moralité qui finit bien. Envoyer ce triste personnage se faire "pendre" dans les cieux pour qu'il s'en trouve les yeux tout éblouis. C'est plutôt sympa.
