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Critique de LancelotdelaContree
Comme le premier opus, j'ai dévoré ce tome aussitôt acheté.
J'ai hâte que le dernier tome sorte, alors je prendrais une après-midi pour tout relire, décortiquer cette BD car je suis certain qu'il vaut le coût d'aller plus loin que la première et la deuxième lecture.
Concernant le premier niveau de lecture, j'ai trouvé la trame générale bien ficelée et haletante même si certains changement de point de vue m'ont désarçonné, comme dans le premier tome.
Évidemment, tout cela constitue une description d'un monde dystopique, d'une nature détruite par l'homme, lui-même proche de l'anéantissement.
Je pense cependant qu'on peut aller plus loin et s'attarder sur chaque personnage qui incarne une notion plus profonde, plus philosophique. Je l'ai touché du bout des doigts (ou des yeux), mais n'ai pas poussé dans cette direction. Ce n'est qu'une première lecture après tout, une découverte. Ce n'est que partie remise, lorsque j'aurais connaissance de toute l'histoire.
Sylvain Ferret démontre ici qu'il ne doit pas être connu que pour son seul coup de crayon, sa plume, sa sensibilité et sa façon de raconter une histoire méritent tout autant d'être découvert, notamment grâce à cette trilogie.
Un tome réussi donc et un mot de la fin de Sylvain Ferret d'une belle puissance et d'une rage salvatrice pour clore ce chapitre.
J'ai hâte que le dernier tome sorte, alors je prendrais une après-midi pour tout relire, décortiquer cette BD car je suis certain qu'il vaut le coût d'aller plus loin que la première et la deuxième lecture.
Concernant le premier niveau de lecture, j'ai trouvé la trame générale bien ficelée et haletante même si certains changement de point de vue m'ont désarçonné, comme dans le premier tome.
Évidemment, tout cela constitue une description d'un monde dystopique, d'une nature détruite par l'homme, lui-même proche de l'anéantissement.
Je pense cependant qu'on peut aller plus loin et s'attarder sur chaque personnage qui incarne une notion plus profonde, plus philosophique. Je l'ai touché du bout des doigts (ou des yeux), mais n'ai pas poussé dans cette direction. Ce n'est qu'une première lecture après tout, une découverte. Ce n'est que partie remise, lorsque j'aurais connaissance de toute l'histoire.
Sylvain Ferret démontre ici qu'il ne doit pas être connu que pour son seul coup de crayon, sa plume, sa sensibilité et sa façon de raconter une histoire méritent tout autant d'être découvert, notamment grâce à cette trilogie.
Un tome réussi donc et un mot de la fin de Sylvain Ferret d'une belle puissance et d'une rage salvatrice pour clore ce chapitre.
