Pour ce premier tome, comme toujours ce qui mine autour du pouvoir est de l'avidité, hé bien l'heure est à la gloutonnerie, on veut de l'or, on en veut avec acharnement, de l'or, encore et encore, au point que le prince Gonzague manigance un coup avec des bandits de grand chemin pour terrasser son cousin le prince Philippe de Nevers, car il faut le dire, celui-ci est un grand chevalier, un dieu de l'escrime qu'il est parvenu à créer un coup qui porte son nom les bottes de Nevers, indomptable, on estimait que seul un gaillard était capable de le battre dans un combat corps à corps, c'est en effet
le chevalier de lagardere nommé aussi le petit parisien...
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