Témoignage poignant sur Alep, capitale de la révolution syrienne.
Jean-Pierre Filiu nous promène au milieu des bombes, de la mort des enfants,des attaques dont sont victimes les centres médicaux ,du gaz sarin ,de la destruction des monuments. C'est le quotidien de ce million d'habitants abandonnés par la communauté internationale , livré aux "katibas" de différentes obédiences.La guerre civile profitera sans doute aux jihadistes et la conclusion assez pessimiste laisse à penser que le peuple aura été sacrifié en vain :pas de printemps pour la Syrie.
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