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Critique de max-prod
D'ordinaire, je ne suis pas addict de poésie. J'en lis à l'occasion, cherchant sans doute un peu de douceur et de rêve au passage.
J'ai laissé le recueil d'Aurore sur ma table de nuit, ne le découvrant véritablement que la nuit venue. Pourquoi ai-je pensé, en posant les yeux sur les notes de musique de la couverture, à du chocolat ? Je l'ignore.
Pourtant, je me suis relevé, cherchant dans ma cuisine un carré de douceur.
Et c'est bien de cette façon que j'ai croqué du bout des dents ses vers, me réservant, chaque soir, une poésie. Pas plus, pour déguster sans dévorer. de "brouillard sonore", qui m'a d'entrée surpris, à "coup de foudre mélodique", qui m'a laissé les yeux ouverts toute la nuit, j'ai aimé, imaginé, écouter ces notes en mots, (à moins que cela ne soit l'inverse) oubliant, au bout de ma journée, le monde tel qu'il est. Qu'il est bon de se croire ailleurs et nulle part tout à la fois.
Je dois, à Aurore, de vrais moments de réflexion, d'interrogations sur la vie et des idées un peu folles pour le livre que j'écris. C'est grâce à Aurore que mon jeune héro joue du violon (eh oui, un piano est impossible à transporter sur son dos), donnant de la magie à celui qui l'écoute.
Aurore a su aussi, dans le silence de ma chambre, déclencher des solos de piono à deux ou quatre mains, des déchaînements de sonorités endiablées... comme si la musique s'écoutait à travers des mots.
Tout ca pour vous dire que j'ai vraiment apprécié de la lire chaque soir... comme une récompense.
Alors certes, je ne saurais en faire autant. Aligner des mots, c'est facile. Mais leurs donner un sens, une âme, c'est infiniment plus complexe. Il doit forcément y avoir une part de magie à créer ces merveilles.
Aurore nous offre là, des petits textes simples, efficaces, sans point ni virgule. Il faut juste lire lentement... aller au bout de la poésie, fermer un temps les yeux pour repenser à chaque mots, et pourquoi pas, le relir une seconde fois. Après, éteignez la lumière. La nuit fera le reste.
Bravo Aurore !
Tu m'as étonné, scotché et épaté. Je ne regrette qu'une chose : d'être déjà au bout de ton recueil. J'essaie de me consoler en me disant que tu dois en avoir d'autres dans un tiroir. Ne tarde pas trop à les mettre en lumière. Ils ne vivront que mieux d'être lu !
Nombre7 :
https://librairie.nombre7.fr/poesie/1574-34-temps-9782381530581.html?search_query=Trois+quart+temps&results=139
J'ai laissé le recueil d'Aurore sur ma table de nuit, ne le découvrant véritablement que la nuit venue. Pourquoi ai-je pensé, en posant les yeux sur les notes de musique de la couverture, à du chocolat ? Je l'ignore.
Pourtant, je me suis relevé, cherchant dans ma cuisine un carré de douceur.
Et c'est bien de cette façon que j'ai croqué du bout des dents ses vers, me réservant, chaque soir, une poésie. Pas plus, pour déguster sans dévorer. de "brouillard sonore", qui m'a d'entrée surpris, à "coup de foudre mélodique", qui m'a laissé les yeux ouverts toute la nuit, j'ai aimé, imaginé, écouter ces notes en mots, (à moins que cela ne soit l'inverse) oubliant, au bout de ma journée, le monde tel qu'il est. Qu'il est bon de se croire ailleurs et nulle part tout à la fois.
Je dois, à Aurore, de vrais moments de réflexion, d'interrogations sur la vie et des idées un peu folles pour le livre que j'écris. C'est grâce à Aurore que mon jeune héro joue du violon (eh oui, un piano est impossible à transporter sur son dos), donnant de la magie à celui qui l'écoute.
Aurore a su aussi, dans le silence de ma chambre, déclencher des solos de piono à deux ou quatre mains, des déchaînements de sonorités endiablées... comme si la musique s'écoutait à travers des mots.
Tout ca pour vous dire que j'ai vraiment apprécié de la lire chaque soir... comme une récompense.
Alors certes, je ne saurais en faire autant. Aligner des mots, c'est facile. Mais leurs donner un sens, une âme, c'est infiniment plus complexe. Il doit forcément y avoir une part de magie à créer ces merveilles.
Aurore nous offre là, des petits textes simples, efficaces, sans point ni virgule. Il faut juste lire lentement... aller au bout de la poésie, fermer un temps les yeux pour repenser à chaque mots, et pourquoi pas, le relir une seconde fois. Après, éteignez la lumière. La nuit fera le reste.
Bravo Aurore !
Tu m'as étonné, scotché et épaté. Je ne regrette qu'une chose : d'être déjà au bout de ton recueil. J'essaie de me consoler en me disant que tu dois en avoir d'autres dans un tiroir. Ne tarde pas trop à les mettre en lumière. Ils ne vivront que mieux d'être lu !
Nombre7 :
https://librairie.nombre7.fr/poesie/1574-34-temps-9782381530581.html?search_query=Trois+quart+temps&results=139
