Dans
le ras-le-bol des super women,
Michèle Fitoussi dénonçait déjà en 1997 la charge mentale des femmes, soumises aux injonctions leur demandant d'être parfaites sur tous les fronts : bonne amante, bonne épouse, bonne mère menant en parallèle une brillante carrière.
Michèle Fitoussi étant journaliste au magazine Elle, elle a largement contribué à cette image, qui correspond tellement peu à la réalité de la majorité des femmes et conduit au burn-out. Depuis, la télé-réalité (tellement mal nommée) et les réseaux sociaux ont pris le relais des magazines féminins pour imposer cette image photoshoppée d'une perfection qui n'est pas de ce monde.
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