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Critique de Haldir
Je suis tombé sur ce livre par hasard en feuilletant des ouvrages dans une bibliothèque bordelaise. "Les filles" un drôle de titre pour un essai! Comme la critique précédente j'ai lu quelques pages en diagonale. le sujet semblait léger et la couverture attirante. Alors j'ai succombé. Et au final je n'ai pas été si déçu que ça!
C'est effectivement un mélange de sensualité et d'humour léger. L'auteur (un homme) y parle des filles, de celles qu'il aime, qu'il à aimé, de leurs attitudes un peu mystérieuse, de cette fascination que peux éprouver un homme face à la gent féminine. Je ne serai pas aussi catégorique en affirmant qu'il s'agit d'un récit misogyne et nombriliste. L'auteur parle de son ressenti avec les femmes. Dès lors il est normal que le récit soit quelque peu auto-centré.. Oui le livre est parfois un peu inégal; on passe d'une page émoustillante à une page plus banale. Quant à la misogynie... En soit il ne s'agit que d'un homme qui parle de femmes (ou de filles) avec un certain mélange de peur, d'admiration et d'incompréhension. C'est justement cela qui est touchant. Car qui ne s'est jamais posé de questions sur les filles? Qui enfant n'a jamais été perturbé de voir la différence entre le sexe d'une petite fille et celui d'un petit garçon? Qui n'a pas ressenti l'émoi des premières découvertes?
Alain Flageul s'essaye à mettre par écrit ces doutes, ces découvertes et ces questions que tout homme s'est déjà posé. Il y a parfois des maladresses (qui n'en ferait pas ? ) mais c'est justement ce qui donne un côté si humain à ce livre.
C'est effectivement un mélange de sensualité et d'humour léger. L'auteur (un homme) y parle des filles, de celles qu'il aime, qu'il à aimé, de leurs attitudes un peu mystérieuse, de cette fascination que peux éprouver un homme face à la gent féminine. Je ne serai pas aussi catégorique en affirmant qu'il s'agit d'un récit misogyne et nombriliste. L'auteur parle de son ressenti avec les femmes. Dès lors il est normal que le récit soit quelque peu auto-centré.. Oui le livre est parfois un peu inégal; on passe d'une page émoustillante à une page plus banale. Quant à la misogynie... En soit il ne s'agit que d'un homme qui parle de femmes (ou de filles) avec un certain mélange de peur, d'admiration et d'incompréhension. C'est justement cela qui est touchant. Car qui ne s'est jamais posé de questions sur les filles? Qui enfant n'a jamais été perturbé de voir la différence entre le sexe d'une petite fille et celui d'un petit garçon? Qui n'a pas ressenti l'émoi des premières découvertes?
Alain Flageul s'essaye à mettre par écrit ces doutes, ces découvertes et ces questions que tout homme s'est déjà posé. Il y a parfois des maladresses (qui n'en ferait pas ? ) mais c'est justement ce qui donne un côté si humain à ce livre.
