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Critique de Da_Llgelo
Découvert au détour d'une rue, ce livre sort de nulle part tel un Death Note et vient tuer la personne qui try to read it.
C'est un livre très rapide à lire (en un ou deux soirs c'est plié) mais original.
J'y ressens un mélange de Gainsbourg (non juste parce que c'est un personnage du livre), de Vian pour le (piano)cocktail explosif et déjanté. Au final, une pierre : L'onyx rose de Brigitte Fontaine.
Mais ce n'est pas tout, une poétique et une poésie étrange nées des flots des pages dont la mise en page nous laisse de grandes marges pour essuyer nos doigts. Ces éléments nous berce accompagnés d'un sourire par ci et d'un sourcil crispé par là.
Au fond, on s'élève comme sur un tapis volant pour voler de paysage en paysage, comme transporter d'époques en époques, au détour de l'Orient et de l'Occident.
J'ai apprécié cette lecture, bousculée du bâbord au tribord de mes pensées : est-ce que l'écriture est trop facile (partir loin pour paraître original ?) ou bien une habitude de Fontaine et sa maîtrise des mots qui nous gicle à la figure (sans connotation sexuelle quoiqu'un peu) : formidable.
Un passage étonnant : un apologie du terrorisme : un monde où les hommes sont près à tout pour marcher médiatiquement avant de tomber (bien qu'ayant déjà assez d'or (doré) en poche (percée).
Ce passage si brutalement casser et démantelé en une phrase et que serais-je si je vous la dévoile ?
C'est un original coup de coeur qui me laisse cependant entre perplexité et méditation.
Bonne Lecture Futures; daaquo !
C'est un livre très rapide à lire (en un ou deux soirs c'est plié) mais original.
J'y ressens un mélange de Gainsbourg (non juste parce que c'est un personnage du livre), de Vian pour le (piano)cocktail explosif et déjanté. Au final, une pierre : L'onyx rose de Brigitte Fontaine.
Mais ce n'est pas tout, une poétique et une poésie étrange nées des flots des pages dont la mise en page nous laisse de grandes marges pour essuyer nos doigts. Ces éléments nous berce accompagnés d'un sourire par ci et d'un sourcil crispé par là.
Au fond, on s'élève comme sur un tapis volant pour voler de paysage en paysage, comme transporter d'époques en époques, au détour de l'Orient et de l'Occident.
J'ai apprécié cette lecture, bousculée du bâbord au tribord de mes pensées : est-ce que l'écriture est trop facile (partir loin pour paraître original ?) ou bien une habitude de Fontaine et sa maîtrise des mots qui nous gicle à la figure (sans connotation sexuelle quoiqu'un peu) : formidable.
Un passage étonnant : un apologie du terrorisme : un monde où les hommes sont près à tout pour marcher médiatiquement avant de tomber (bien qu'ayant déjà assez d'or (doré) en poche (percée).
Ce passage si brutalement casser et démantelé en une phrase et que serais-je si je vous la dévoile ?
C'est un original coup de coeur qui me laisse cependant entre perplexité et méditation.
Bonne Lecture Futures; daaquo !
