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Critique de thomas141
Un Marvel Icons qui débute sous le signe de Fear Itself. Iron Man apprend que des objets sont tombés en plusieurs endroits sur notre planète et il se propose d'aller voir ce qui se passe à... Paris! Sur place, la Gargouille Grise a été transformée et a massacré des milliers de parisiens, les transformant en pierre.
Il m'arrive de reprocher à Matt Fraction sa manière de faire des numéros qui se lisent en deux minutes et où il ne se passe rien. Mais, le scénariste qui s'occupe de Fear Itself apporte ici un certain soin à son histoire et les deux épisodes se dévorent avec un appétit féroce. J'attends la suite avec grande impatience!
De leur côté les nouveaux Vengeurs doivent retrouver Superia et sauver Oiseau Moqueur. La fin de cette histoire se passe particulièrement vite et on a, comme souvent, l'impression que Bendis bâcle pour boucler. Souvent de bonnes idées, souvent de mauvais traitements. Pour, visiblement, pallier aux retards de Deodato, on utilise Howard Chaykin pour faire des flash-back. Quelle horreur! Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant souffert face à des dessins chez Marvel. On croirait qu'un élève de 6e atteint de Parkinson et adepte de Photoshop s'est occupé de ces planches. Je n'arrive même plus à les lire. Heureusement, il y en a peu et on peut espérer que les prochains arcs se feront avec un autre dessinateur de "secours" sans qu'on ait à notre tour besoin d'appeler à l'aide.
Mais, l'événement de ce numéro de janvier, c'est la nouvelle série FF pour Fondation du Futur. La Torche est décédé et pour le remplacer, Red Richards fait appel au très occupé Spider-Man. Même si l'originalité n'est pas au rendez-vous pour cet appel, c'est toujours mieux que Wolverine. L'histoire est toujours bien menée par un Hickman qui est désormais un habitué des Fantastiques et prend naturellement cette suite avec un Epting efficace bien que plus illustrateur que dessinateur d'action.
On suit donc cette Fondation dont le but est de transformer le monde pour en faire un endroit plus agréable. Pour cela, un étrange personnage risque d'entrer dans l'équipe; je vous laisse le suspens. On pourra aussi voir plus souvent les petits génies domiciliés chez les Richards, Nathaniel le père retrouvé de Red et je pense que Hickman nous permettra de réfléchir sur cette "transformation" souhaitée du monde et sur les dangers de vouloir créer une utopie.
Un numéro très agréable, qui donne envie de se jeter sur la suite.
Il m'arrive de reprocher à Matt Fraction sa manière de faire des numéros qui se lisent en deux minutes et où il ne se passe rien. Mais, le scénariste qui s'occupe de Fear Itself apporte ici un certain soin à son histoire et les deux épisodes se dévorent avec un appétit féroce. J'attends la suite avec grande impatience!
De leur côté les nouveaux Vengeurs doivent retrouver Superia et sauver Oiseau Moqueur. La fin de cette histoire se passe particulièrement vite et on a, comme souvent, l'impression que Bendis bâcle pour boucler. Souvent de bonnes idées, souvent de mauvais traitements. Pour, visiblement, pallier aux retards de Deodato, on utilise Howard Chaykin pour faire des flash-back. Quelle horreur! Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant souffert face à des dessins chez Marvel. On croirait qu'un élève de 6e atteint de Parkinson et adepte de Photoshop s'est occupé de ces planches. Je n'arrive même plus à les lire. Heureusement, il y en a peu et on peut espérer que les prochains arcs se feront avec un autre dessinateur de "secours" sans qu'on ait à notre tour besoin d'appeler à l'aide.
Mais, l'événement de ce numéro de janvier, c'est la nouvelle série FF pour Fondation du Futur. La Torche est décédé et pour le remplacer, Red Richards fait appel au très occupé Spider-Man. Même si l'originalité n'est pas au rendez-vous pour cet appel, c'est toujours mieux que Wolverine. L'histoire est toujours bien menée par un Hickman qui est désormais un habitué des Fantastiques et prend naturellement cette suite avec un Epting efficace bien que plus illustrateur que dessinateur d'action.
On suit donc cette Fondation dont le but est de transformer le monde pour en faire un endroit plus agréable. Pour cela, un étrange personnage risque d'entrer dans l'équipe; je vous laisse le suspens. On pourra aussi voir plus souvent les petits génies domiciliés chez les Richards, Nathaniel le père retrouvé de Red et je pense que Hickman nous permettra de réfléchir sur cette "transformation" souhaitée du monde et sur les dangers de vouloir créer une utopie.
Un numéro très agréable, qui donne envie de se jeter sur la suite.
