Ce qui est touchant dans cet opus, c'est le côté enfantin du scénario, l'intrigue faisant apparaître Spirou et Fantasio, qui n'ont pas encore acquis la personnalité qui fera leur réussite plus tard, comme de grand naïfs.
Le dessin contient déjà, malgré quelques maladresses, la patte du grand
Franquin, notamment pour les voitures.
La lecture de cet opus prend alors une valeur historique.
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