Un dytique réalisé de main de maître :
Laurent Galandon au scénario multiplie les fausses pistes tout en offrant un panorama sombre de la vie d'après-guerre. Il prend son temps, nous questionne, nous entraîne et nous surprend sans pour autant tomber dans la facilité . Quant au dessin d'
Arno Monin (l'envolée sauvage, l'adoption) très proche de celui d'un
Jordi Lafebre par exemple, il est simplement toujours aussi limpide, précis et esthétiquement irréprochable ; il participe sans aucun doute à la très belle facture de ces deux albums.
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