>
Critique de LoupAlunettes
: " Tom et son ombre", c'est une histoire de famille, nous dit-on sur les réseaux internets.
Si Zoé Galeron, réalisatrice de films, se lance ici sur une collaboration avec son père, le bien connu Henri Galeron, auteur et illustrateur de livres pour enfants, c'est en fait aussi grâce à son fils, Eloi, qui lui inspirera cette histoire.
Tom et son ombre. Nous devrions dire "L'ombre de Tom", pour être plus précis, car c'est elle qui sera au coeur de cette aventure inversée.
Le petit Tom, qui aura gagné un jour le droit de rentrer tout seul de l'école, aura même faussé compagnie à son ombre, qui se retrouvera seule et perdue.
Oui, cette fois, c'est l'ombre qui aura peur de tout et de rien une fois abandonnée, elle qui comptait toujours sur son propriétaire Tom pour trouver son chemin.
Il sera question d'autonomie et de petites peurs mais par le biais d'une ombre.
Le retour sans Tom donnera l'occasion d'un joli jeu visuel, un petit théâtre d'ombres sur le sol où l'ombre demandera son chemin ou s'accrochera à qui voudra bien l'aider.
C'est le récit initiatique d'une ombre qui grandira( même lorsque le soleil sera au zénith) et vivra sa propre aventure, à l'identique d'un enfant qui jusqu'alors ne trouvait pas les moyens ni la force de trop s'éloigner de ses parents.
L'ombre va vivre et expérimenter, elle va trouver une femme et une raison d'être ( et oui).
Aura t-elle oublié Tom avec le temps?
La fin est émouvante.
On se dit ici qu'il est parfois incontournable de "coupon le cordon" avec nos protecteurs, un jour, d'aller de l'avant, sans craintes et d'apprendre à se trouver sur le chemin. D'être plus que l'ombre de ses propres désirs.
On a aimé.
Si Zoé Galeron, réalisatrice de films, se lance ici sur une collaboration avec son père, le bien connu Henri Galeron, auteur et illustrateur de livres pour enfants, c'est en fait aussi grâce à son fils, Eloi, qui lui inspirera cette histoire.
Tom et son ombre. Nous devrions dire "L'ombre de Tom", pour être plus précis, car c'est elle qui sera au coeur de cette aventure inversée.
Le petit Tom, qui aura gagné un jour le droit de rentrer tout seul de l'école, aura même faussé compagnie à son ombre, qui se retrouvera seule et perdue.
Oui, cette fois, c'est l'ombre qui aura peur de tout et de rien une fois abandonnée, elle qui comptait toujours sur son propriétaire Tom pour trouver son chemin.
Il sera question d'autonomie et de petites peurs mais par le biais d'une ombre.
Le retour sans Tom donnera l'occasion d'un joli jeu visuel, un petit théâtre d'ombres sur le sol où l'ombre demandera son chemin ou s'accrochera à qui voudra bien l'aider.
C'est le récit initiatique d'une ombre qui grandira( même lorsque le soleil sera au zénith) et vivra sa propre aventure, à l'identique d'un enfant qui jusqu'alors ne trouvait pas les moyens ni la force de trop s'éloigner de ses parents.
L'ombre va vivre et expérimenter, elle va trouver une femme et une raison d'être ( et oui).
Aura t-elle oublié Tom avec le temps?
La fin est émouvante.
On se dit ici qu'il est parfois incontournable de "coupon le cordon" avec nos protecteurs, un jour, d'aller de l'avant, sans craintes et d'apprendre à se trouver sur le chemin. D'être plus que l'ombre de ses propres désirs.
On a aimé.
